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Alain Cocauthrey (PDCI-RDA) : «Ce procès est une intrigue ourdie contre un adversaire politique»Dans un document de deux pages qui circule en ce moment sur les réseaux sociaux et intitulé, ‘’les observations du Pdci-Rda sur l’assignation portée contre le président du parti’’, le Directeur du Cabinet du Président du Pdci-Rda, Alain Cocauthrey prend position dans cet imbroglio juridique. Après une analyse des faits, il assure «que ce procès mal fondé a toutes les caractéristiques d’une intrigue ourdie contre un adversaire politique à l’aura grandissante. Cette intrigue ne saurait viser la réparation d’un prétendu tort qui n’existe pas ». A l’en croire, «ce procès est aussi une réaction de panique et un aveu de désespoir face au succès éclatant du meeting du 15 février 2025 à Yopougon, qui a démontré l’attachement de toutes les composantes de la société ivoirienne à la personne du Président Tidjane Thiam». Dans son argumentaire, il explique que son parti qui cultive «les valeurs de paix, de justice, de démocratie, et de fraternité, indispensables à la construction d’une nation harmonieuse et sans haine» est également «enraciné dans la quête de dialogue et ne saurait se laisser distraire par des attaques dont l’unique objectif est de le détourner, à travers des actes de diversion, des valeurs qui le caractérisent».Arguments contre argumentsPour prouver la véracité de ses dires et confondre ainsi les détracteurs du président de son parti, le Directeur de Cabinet procède par une offensive ciblée. Il affirme catégoriquement que les plaignants ne sont ni des militants du PDCI-RDA, ni des secrétaires généraux de section contrairement aux titres allégués par les plaignants qui se présentent plutôt comme des secrétaires de section. De même pour l’imprécision des sections concernées et revendiquées par les plaignants, ce qui empêche d’établir et d’identifier avec précision leur origine géographique. Alain Cocauthrey ajoute qu’ «Aucun article des statuts et du règlement intérieur du parti ne prévoit la destitution d’un Président élu au Congrès. Mieux, précise-t-il, l’article 69 des statuts stipule que : « toute décision prise par un organe du Parti à l’issue d’un vote est exécutoire, sauf recours hiérarchique. Toutefois, les décisions du Bureau Politique sont insusceptibles de voie de recours». Ce qui veut dire que la décision souveraine du Congrès, instance suprême, ne peut faire l’objet d’une voie de recours de la part d’un militant ès-qualité. Alors qu’un doute sérieux plane sur la qualité des plaignants». Concernant la question centrale de la nationalité du président du parti, il fait savoir enfin que «l’article 41, sur lequel se fondent les plaignants, stipule simplement que: «le candidat à la présidence du Parti doit être ivoirien». Il ne s’agit donc pas d’une nationalité exclusive. Tout comme l’article 49 qui exige que: «le membre du Secrétariat Exécutif du parti doit être ivoirien… ». C’est ainsi que des binationaux ont pu être nommés Secrétaires Exécutifs du parti».

Par admin
20 février 2025
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Alain Cocauthrey (PDCI-RDA) : «Ce procès est une intrigue ourdie contre un adversaire politique»Dans un document de deux pages qui circule en ce moment sur les réseaux sociaux et intitulé, ‘’les observations du Pdci-Rda sur l’assignation portée contre le président du parti’’, le Directeur du Cabinet du Président du Pdci-Rda, Alain Cocauthrey prend position dans cet imbroglio juridique. Après une analyse des faits, il assure «que ce procès mal fondé a toutes les caractéristiques d’une intrigue ourdie contre un adversaire politique à l’aura grandissante. Cette intrigue ne saurait viser la réparation d’un prétendu tort qui n’existe pas ». A l’en croire, «ce procès est aussi une réaction de panique et un aveu de désespoir face au succès éclatant du meeting du 15 février 2025 à Yopougon, qui a démontré l’attachement de toutes les composantes de la société ivoirienne à la personne du Président Tidjane Thiam». Dans son argumentaire, il explique que son parti qui cultive «les valeurs de paix, de justice, de démocratie, et de fraternité, indispensables à la construction d’une nation harmonieuse et sans haine» est également «enraciné dans la quête de dialogue et ne saurait se laisser distraire par des attaques dont l’unique objectif est de le détourner, à travers des actes de diversion, des valeurs qui le caractérisent».Arguments contre argumentsPour prouver la véracité de ses dires et confondre ainsi les détracteurs du président de son parti, le Directeur de Cabinet procède par une offensive ciblée. Il affirme catégoriquement que les plaignants ne sont ni des militants du PDCI-RDA, ni des secrétaires généraux de section contrairement aux titres allégués par les plaignants qui se présentent plutôt comme des secrétaires de section. De même pour l’imprécision des sections concernées et revendiquées par les plaignants, ce qui empêche d’établir et d’identifier avec précision leur origine géographique. Alain Cocauthrey ajoute qu’ «Aucun article des statuts et du règlement intérieur du parti ne prévoit la destitution d’un Président élu au Congrès. Mieux, précise-t-il, l’article 69 des statuts stipule que : « toute décision prise par un organe du Parti à l’issue d’un vote est exécutoire, sauf recours hiérarchique. Toutefois, les décisions du Bureau Politique sont insusceptibles de voie de recours». Ce qui veut dire que la décision souveraine du Congrès, instance suprême, ne peut faire l’objet d’une voie de recours de la part d’un militant ès-qualité. Alors qu’un doute sérieux plane sur la qualité des plaignants». Concernant la question centrale de la nationalité du président du parti, il fait savoir enfin que «l’article 41, sur lequel se fondent les plaignants, stipule simplement que: «le candidat à la présidence du Parti doit être ivoirien». Il ne s’agit donc pas d’une nationalité exclusive. Tout comme l’article 49 qui exige que: «le membre du Secrétariat Exécutif du parti doit être ivoirien… ». C’est ainsi que des binationaux ont pu être nommés Secrétaires Exécutifs du parti».
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Fidel Koné

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